Le temps où pas une minute de libre n'était libre, parce qu'elle était envahie de la mauvaise conscience. L'état d'esprit qui traque le khâgneux pendant un an, puis deux, puis (noooooon, pas trois ! savoir s'arrêter avant...).
Il y a ceux qui deviennent des bêtes à concours sans autre pensée. Ceux là finalement ne connaissent pas la mauvaise conscience, puisqu'ils n'ont pas la fameuse minute de libre dans laquelle ladite mauvaise conscience vient se nicher.
Et ceux qui vivent ces années comme un "enrichissement personnel tant au niveau humain qu'intellectuel" (tout est une question de persuasion persuasive)
Choisir sa case.
Mais réviser le concours, quand même. Parce qu'il faut bien faire semblant.
Les virtuoses. On ne les présente plus (!)
2 commentaires:
ça me rappelle des choses à moi aussi ;)
bons ou mauvais souvenirs, ou souvenirs tout courts...? je comprends tout à fait; la 3ème année aurait été de trop, mais c'est sans regrets! ça parait si loin...
bonne continuation pour ton boulot et pour ton blog! je viens de lire 4 mois de post, je n'ai donc pas suivi le débat sur la continuation de ton blog, mais aujourd'hui, je t'encourage vivement car je le trouve très intéressant, très personnel. j'adore toutes les anecdotes que tu racontes sur la boulangerie.
Garde ton enthousiasme, il y aura toujours des médisants, mais il y aura aussi toujours de gens derrière toi.
gros bisous
(et promis, j'essaierai de venir plus souvent et de laisser un com)
Je n'ai pas été khâgneux pendant 2 ans mais taupin et c'est drôle comme ton histoire de mauvaise conscience me parle et me rappelle tant de souvenirs !!
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